3 clés pour augmenter sa confiance en soi

Dans notre vie professionnelle comme personnelle, la confiance en soi est importante car c’est elle qui nous permet généralement de passer à l’action. Et l’inverse est vrai. Passer à l’action augmente notre confiance en nous et en notre capacité à faire face aux différentes situations.

Il y a un an environ, j’avais découvert la pyramide de la confiance en soi lors d’une rencontre organisée par Force femmes, association qui agit pour l’emploi et l’entrepreneuriat des femmes de plus de 45 ans. Les bénévoles de cette association sont pleinement conscientes de l’importance de la confiance en soi pour rebondir professionnellement.

Voici le schéma qui avait été présenté par une coach bénévole :

Nous voyons qu’il y a plusieurs étages et que chacun est important. Pour une personne donnée, le focus va être différent en fonction de son vécu et de son regard sur lui-même.

Examinons chaque étage l’un après l’autre.

1°) Comment augmenter son estime de soi ?

L’estime de soi représente l’opinion de soi-même, la valeur qu’on s’accorde.

Je suis en train de lire L’estime de soi, un passeport pour la vie, du Québécois Germain Duclos, et il reprend dans son livre la définition de Josiane de St Paul :

« L’estime de soi est l’évaluation positive de soi-même, fondée sur la conscience de sa propre valeur et de son importance inaliénable en tant qu’être humain. Une personne qui s’estime se traite avec bienveillance et se sent digne d’être aimée et d’être heureuse. L’estime de soi est également fondée sur le sentiment de sécurité que donne la certitude de pouvoir utiliser son libre arbitre, ses capacités et ses facultés d’apprentissage pour faire face de manière responsable et efficace aux événements et aux défis de la vie. »

Ce qu’il est important de savoir, c’est que l’estime de soi n’est pas figée mais évolue tout au long de la vie.

L’autre point fondamental est de comprendre le terme de « conscience de sa propre valeur ». Germain Duclos explique qu’il n’est pas tant question de la valeur d’un individu en tant que telle, mais de la « conscientisation » de cette valeur. On peut faire des choses remarquables et déployer tous les talents du monde, si on n’y attribue pas de valeur, on n’aura pas plus d’estime de soi avant qu’après.

Avez-vous ressenti parfois ce décalage entre la vision que les autres ont de vous et celle que vous avez de vous-même ? Ils vous voient formidable mais vous vous sentez nul(le).

Et parfois, vous avez beau avoir eu des parents aimants et valorisants, vous avez toujours une piètre opinion de vous-même et de votre valeur.

Il peut aussi y avoir des cas où vous avez eu tellement de remarques dévalorisantes de votre entourage personnel ou professionnel que cela a entamé votre estime de vous-même.

Vos échecs, tant dans le domaine professionnel que sentimental, ont pu aussi broyer votre estime de vous-même.

Alors que faire ?

Personnellement, j’ai entamé un travail personnel avec Dieu. J’ai cherché auprès de lui la conscience de ma valeur en m’appuyant sur ce qu’il dit sur moi et ma valeur.

J’avais lu certaines Écritures des dizaines de fois, mais tout comme on écarte parfois d’un revers de main les compliments, je ne me laissais pas imprégner de cette réalité de l’amour de Dieu dans la valeur qu’il m’accorde.

Voici certaines Écritures sur lesquelles je médite, entre autres :

 -« Vous valez plus que beaucoup de moineaux. » (Matthieu 10 : 31)

-« Tu seras une couronne splendide dans la main de l’Eternel, un turban royal dans la paume de ton Dieu ». (Esäie 62 : 3).

Quand je regarde les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as établies : Qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui ? » (Psaumes 8 :5).

Je suis allée au Palais de la Découverte à Paris il y a peu de temps et quand on voit les étoiles, les galaxies, les tréfonds de l’univers, on est à la fois plus humble mais aussi plus conscient de la valeur que Dieu nous accorde, quand il répond à nos prières du quotidien.

Mais l’Ecriture clé de l’Evangile qui fixe notre valeur et devrait augmenter notre estime de soi se trouve en Romains 5 :6-8 :

« Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu’un peut-être aurait le courage de mourir pour un homme qui est bon. Mais en ceci, Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. »

Comprenez-vous profondément ce que cela signifie ? La valeur que Dieu vous donne ne dépend pas de votre énergie, de votre résilience ni même de vos qualités morales qui peuvent fluctuer ! Dieu a estimé que vous aviez assez de valeur en vous-même, avant d’avoir fait quoi que ce soit pour lui ou pour les autres, pour vous offrir son Fils, afin de vous prouver la valeur que vous aviez à ses yeux.

C’est confirmé en Jean 3 : 16-17 : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. »

Tant que ces vérités ne rentreront pas profondément en nous-mêmes et que nous résisterons de toutes nos forces pour les accepter, nous aurons du mal à avoir une profonde estime de soi biblique.

Elle variera en fonction de nos accomplissements, de nos plus ou moins bonnes journées, et de nos « to do lists » (voir mon article à ce sujet).

Afin d’augmenter votre estime de vous-même, essayez également de vous rappeler toutes les fois où vous vous êtes senti(e) précieux ou précieuse. A cause de quelque chose que quelqu’un a fait pour vous. A cause de ce que Dieu a fait pour vous et que seul lui pouvait savoir. Repassez tout cela dans votre cœur plutôt qu’un discours auto-destructeur à vous-même !

Je me souviens d’une fois au travail, où je n’avais pas le moral. J’avais tellement de travail et je me sentais en train de remplir le tonneau percé des Danaïdes : à la fois je n’en voyais pas le bout, et à la fois je n’en voyais pas le sens.

Un matin, je suis arrivée et j’ai trouvé sur mon bureau deux biscuits faits maison à la cannelle et à l’amande, que ma collègue avait faits pour moi. Elle m’a dit qu’elle avait senti une baisse de moral et qu’elle voulait m’encourager.

Encore aujourd’hui, en écrivant, j’en ai les larmes aux yeux, car cela m’a communiqué tellement de valeur, à la fois par elle et par Dieu, car tous deux savaient combien j’en avais besoin.

Repassez de telles choses dans votre cœur.

2°) Comment augmenter sa confiance en soi ?

La confiance en soi est ce sentiment de compétences qui nous permet d’agir et d’entreprendre.

Bien sûr, vous avez énormément de livres qui peuvent vous aider. Personnellement, j’ai lu et relu « Le pouvoir de la confiance en soi » de Brian Tracy. Il y a énormément de pépites dans ce livre. Le seul défaut principal est qu’il est concentré sur la réussite matérielle principalement. Alors qu’on peut avoir envie de mobiliser sa confiance en soi pour beaucoup d’autres sujets.

Mais si on arrive à transposer sur son objectif et à reformuler, il y a beaucoup de choses intéressantes. Personnellement, en ce qui concerne les livres de développement personnel, mon attitude est celle de 1 Thessaloniciens 5 :21 : « Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon ».

Il y aura toujours des choses dans ce type de livre qui ne sont pas complètement justes d’un point de vue biblique, mais il y en a aussi beaucoup qui vont vous aider à faire des ponts avec les Écritures et vous donner un éclairage différent qui peut créer un déclic.

Ce que je retiens surtout pour augmenter sa confiance en soi et qui m’a aidée énormément personnellement, c’est :

-Travailler sur ses valeurs

Brian Tracy parle du fait qu’il est important de connaître ses valeurs et d’agir en fonction de ses valeurs, ce qui crée un sentiment de confiance en soi.

Par exemple, si la famille est une valeur très importante pour vous, si vous agissez dans le sens de votre valeur, vous aurez davantage confiance en vous.

C’est ce que je ressens en m’étant mise dans une situation où je peux travailler de la maison. Je me sens parfaitement alignée avec mes valeurs. Alors que lorsque je rentrais harassée et en n’ayant que des miettes à offrir à ma famille, j’étais extrêmement malheureuse.

Il parle du fait qu’au bout du compte, nos actions et nos choix reflètent nos valeurs. Ce qui compte vraiment pour nous.

-Travailler sur ses forces

L’autre chose qui a beaucoup augmenté ma confiance en moi ces derniers mois est de travailler sur mes forces : les identifier d’abord, puis m’appuyer sur elles ensuite.

Il faut vraiment prendre le temps de s’asseoir et d’identifier ses dons, ses forces, ses talents. Voici quelques questions à se poser :

  • De quelles réalisations sommes-nous particulièrement fiers ? Qu’avons-nous mobilisé comme ressources ?
  • Pour quoi en général nous demande-t-on de l’aide ?
  • Qu’est-ce qu’on aimait faire enfant entre 7 et 12 ans ? Il y a de grandes chances que nos goûts et talents naturels se trouvent là quelque part ! Personnellement, à cette époque, je lisais énormément, et j’écrivais des contes de fées ! J’étais aussi plus créative.

Si vous souhaitez un peu investir en vous-même, je vous recommande de passer le test Strenghtsfinder de Gallup. Vous le trouverez sur internet en français comme en anglais. Personnellement, cela m’a énormément aidée à identifier mes 5 forces principales.

Ensuite, si vous êtes conscient(e) de vos forces, vous allez pouvoir les mobiliser pour résoudre les différentes situations de votre travail

Par exemple, personnellement, je mobilise beaucoup ma discipline pour gérer mon stress. En m’organisant, en gérant les priorités, en mettant noir sur blanc les choses, cela m’aide à ne plus avoir un brouillard noir dans la tête.

Je mobilise mon empathie pour me mettre à la place de mes autres collègues, pour comprendre leur point de vue et en tenir compte. Pour parler à bon escient.

Je mobilise ma capacité de réflexion et d’écriture pour ce blog et c’est un vrai bonheur! Ecrire cristallise mes réflexions et m’aide à avoir les idées claires.

A vous de voir comment vous pouvez mobiliser vos forces !

Mais n’oublions pas de mettre Dieu dans l’équation.

Je pense que notre confiance en soi est aussi fortement dépendante de notre confiance en Dieu. J’adore personnellement l’histoire de Gédéon en Juges 6, avec laquelle je m’identifie tellement.

Madian a attaqué Israël et Gédéon essaye de mettre du froment à l’abri de son ennemi. Dieu lui demande d’en faire encore davantage et de sauver Israël de la main de Madian.

Observez d’abord la faible estime de lui-même de Gédéon : « Ah ! mon seigneur, avec quoi sauverai-je Israël ? Voici que ma parenté est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père ».

Pas très impressionnante comme image de soi !

Pourtant Dieu l’appelle « vaillant héros » ! (Juges 6 :12).

Mais c’est la suite qui est intéressante pour la confiance en soi. Dieu lui demande des actes très courageux. Notamment d’affronter les croyances de son père. Puis d’attaquer les Madianites. Pas une mince affaire pour quelqu’un qui a une si faible estime de lui-même.

Mais ce que Gédéon fait à plusieurs reprises, c’est simplement demander à Dieu confirmation qu’il est bien avec lui, que c’est bien lui qui l’envoie et qu’il sera avec lui. Il le fait en faisant des prières très spécifiques.

Et Dieu est extrêmement patient et compréhensif et prend en compte à la fois ses peurs et ses prières.

Personnellement, cela m’encourage beaucoup. Quand je sais que Dieu est avec moi et soutient un projet, c’est beaucoup plus facile de me lancer !

Il suffit donc de recommander à Dieu nos projets et de faire des prières spécifiques à ce sujet.

N’est-ce pas ce que la Bible nous recommande d’ailleurs en Proverbes 16 :3 ? « Recommande à l’Eternel tes œuvres, et tes projets se réaliseront ».

Lorsque nous avons peur de nous lancer dans un nouveau défi, un nouveau projet, reposons-nous sur notre confiance en Dieu et notre confiance augmentera !

3°) Comment augmenter son affirmation de soi ?

L’affirmation de soi, qu’on appelle aussi l’assertivité, est la déclinaison de l’estime de soi au niveau social. C’est notre capacité à exprimer nos opinions, nos sentiments et nos besoins.

S’appuyant sur notre sentiment de valeur, elle permet de défendre ses droits tout en respectant ceux des autres et de le faire de la bonne manière.

J’ai énormément lutté avec cet étage de la pyramide et je lutte toujours encore.

Je pense que mon burn out découle largement de mon manque d’estime de soi couplé à un manque d’affirmation de soi.

Je n’ai pas réussi à poser des limites et je suis souvent arrivée à un point de non retour où, au lieu d’exprimer mes besoins de manière appropriée, mes émotions ont explosé, me rendant inaudible auprès de chefs ou collègues rationnels…

Et c’est mon corps qui a fini par crier ses besoins !

Apprendre à dire non a été libérateur pour moi. Et je continue de l’expérimenter semaine après semaine. Ce n’est pas pour rien que c’est le dernier étage de la pyramide. Car si j’examine la relative facilité avec laquelle je dis non maintenant, c’est dû à ma progression dans les deux premiers étages.

Par exemple, je me donne plus de valeur au niveau de ma santé. Je suis fatigable et je dois en tenir compte avant de m’engager à quoi que ce soit. Avant, je disais oui, sans réfléchir, quitte à m’épuiser et ensuite le regretter amèrement. Maintenant, je dis non beaucoup plus facilement si le prix à payer en termes de fatigue est trop élevé.

Egalement, je donne de la valeur à mes projets, ceux que j’ai désormais la confiance de mener. Ils sont importants à mes yeux, surtout ceux que j’ai remis à Dieu dans l’étape « confiance en soi ».

Alors, si ce qu’on me propose remet en question l’avancement de ce projet, je le soupèse d’abord avant de dire oui. Parfois, si cela correspond à mes valeurs profondes, je vais laisser de côté le projet. Mais pas systématiquement.

Et c’est incroyable comment dire non me fait du bien ! Je n’ai jamais autant dit non que depuis quelques mois, et c’est libérateur. Car cela me permet de me dire oui et donc de m’accorder de la valeur. Egalement de dire oui aux projets uniques que Dieu a pour moi, ces œuvres bonnes qu’il a préparées pour moi, avec mes dons et mes talents !

Bien sûr, il n’est pas toujours facile de s’affirmer au travail, notamment avec des personnalités difficiles. Et des méthodes existent pour nous aider à préparer ce que nous avons à dire, telle la méthode DESC, développée par Bower. En voici les grandes lignes :

D : Décrire les faits (indiscutables)

E : Exprimer ses sentiments (utiliser le « je » et non le « tu » qui tue)

S : Solutions (Trouver les) : proposer, chercher ensemble

C : Conséquences : Indiquer les conséquences positives pour les 2 parties si on sort de la situation ou au contraire les conséquences négatives si cela n’est pas résolu.

Personnellement, du côté de Jésus, j’adore le passage en Matthieu 21:23-27 où il refuse de répondre aux principaux sacrificateurs et aux anciens à leur question sur son autorité. En effet, il y met une condition : qu’eux-mêmes répondent à sa question sur Jean-Baptiste. Comme les sacrificateurs sont poussés dans leurs retranchements et vont devoir s’exposer, ils refusent de répondre honnêtement et disent « nous ne savons pas ». Alors Jésus refuse aussi de répondre : « Moi non plus, je ne vous dirai pas par quelle autorité je fais cela« .

Je trouve que c’est très intéressant du point de vue de l’assertivité, car il pose le principe d’une certaine réciprocité dans la relation, avec les personnes difficiles. Il ne se sent pas obligé de répondre car, pour lui les conditions d’une relation saine ne sont pas remplies pour qu’il leur confie sa réponse.

On retrouve un peu cette idée aussi dans Matthieu 7 : 6 « Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux pieds et ne se retournent pour vous déchirer. »

Bien sûr, la Bible est aussi remplie d’Ecritures sur le service et l’amour de son prochain, mais là il s’agit plutôt des relations qui ne sont pas établies sur des bases saines.

La prière et l’expérience vous aideront à discerner la meilleure approche dans vos relations, mais si vous avez une tendance au surmenage, à mon avis, vous avez besoin de travailler votre estime de vous-même et votre assertivité et d’étudier les Ecritures qui vont plutôt dans ce sens.

CONCLUSION :

J’espère que ces quelques réflexions vous ont aidé(e). Je pense que beaucoup plus pourrait être écrit ! Mais je vous encourage vraiment à investir en vous-même, en incluant Dieu dans l’équation, afin de devenir de plus en plus l’être unique que Dieu a créé. Cela vous donnera des ailes !

En ce moment, je mène une grande enquête sur les difficultés rencontrées au travail, afin de pouvoir mieux répondre à vos besoins. Voici le lien si vous souhaitez y répondre. Les réponses sont anonymes sauf si vous souhaitez me laisser votre adresse e-mail pour que je creuse vos réponses : https://forms.gle/tnyoyV8FmryF8Dnw6

Si vous souhaitez m’écrire personnellement, vous pouvez toujours le faire à armelle@jobdecoeur.fr.

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A très bientôt pour de nouvelles aventures dans notre vie professionnelle et notre vie tout court!

4 Comments

  1. Merci beaucoup Armelle pour cette étude. J’ai beaucoup aimé en particulier l’histoire de Gédéon revisitée sous l’angle de la confiance en soi car c’est un exemple concret qui montre qu’avec la (bonne) perspective de Dieu je peux transformer la vision que j’ai de moi-même et faire des choses qui me paraissaient impossibles au départ mais auxquelles Dieu m’appelle. Très encourageant!
    Il y a un certain nombre d’écritures que je dois relire régulièrement pour me rappeler qui je suis en Christ, en voici quelques-unes:
    • Je suis enfant et héritière de Dieu (Jean 1.12, Eph 1.5, Rom 8.17)
    • Je suis l’ouvrage de Dieu, créée pour des œuvres bonnes (Eph 2.10)
    • Je suis l’amie, cohéritière de Christ et membre de son corps (Jean 15.15, Rom 8.17, 1 Cor 12.27), j’ai été choisie par lui (Jean 15.16)
    • J’ai été rachetée à grand prix, j’appartiens à Dieu (1 Cor 6.20)
    • Je suis pardonnée de tous mes péchés (Col 1.14) et je suis libérée de toutes les charges qui pesaient contre moi et qui me condamnaient (Rom 8.1~2 ; 31~34
    • J’ai reçu la puissance du Saint-Esprit, je suis le temple de Dieu (1 Cor 3.16) et un témoin personnel de Christ (Ac 1.8)
    • Je n’ai pas reçu un esprit de timidité, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse (2 Tim 1.7)
    • Jésus m’a donné l’intelligence pour connaître Dieu, le Véritable, et je suis dans le Véritable, en Christ (1 Jean 5.20)
    • Je suis une sainte, mise à part pour Dieu (Eph 1.1), établie, ointe et scellée par Dieu (2 Cor 1.21~22)
    • Je suis morte au péché et vivante pour Dieu en Christ (Rom 6.11)
    • J’ai tout pleinement en Christ qui est le chef de tout pouvoir (Col 2.10)
    • Dieu m’a donné tout ce qui contribue à ma vie (2 Pierre 1.3)
    • J’ai l’assurance que toutes choses coopèrent à mon bien car j’aime Dieu (Rom 8.28)
    • Je ne peux être séparée de l’amour de Dieu (Rom 8.35~39)
    • Je suis persuadée que Dieu, qui a commencé en moi une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement (Phil 1.6)
    • Je suis citoyenne des cieux (Phil 3.20), assise avec Christ dans le royaume céleste (Eph 2.6)
    • Je suis née de Dieu et le Malin ne peut me toucher (1 Jean 5.18), je l’ai vaincu (1 Jean 2.13), celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans le monde (1 Jean 4.4)
    • Je suis le sel de la terre et la lumière du monde (Mat 5.13~14)
    • Je peux tout faire par le Christ qui me fortifie (Phil 4.13)

    • Bonjour Laurence, merci infiniment pour ton commentaire très complet, que je vais étudier pour moi-même! C’est vrai que plus on sait qui on est aux yeux de Dieu, et plus on a des racines profondes avec une confiance et une estime de soi ancrées en Dieu.

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